Questions fréquentes
1. La sophrologie, c’est quoi ?
La sophrologie est une méthode liant le corps et l’esprit permettant de prendre conscience de ses capacités, ses ressources et de ce qui nous anime profondément afin d’atteindre un état optimal de sante et de bienêtre. Pour cela, on associe des exercices de respiration, de décontraction musculaire et de visualisation positive. Ces exercices s’effectuent en position assise ou debout et sont faciles d’exécution.
2. Quels sont les moyens utilisés en sophrologie ?
La sophrologie utilise 3 moyens : la respiration, la détente musculaire et la visualisation mentale.
3. Pourquoi consulter un sophrologue ?
Vous pouvez être amené/e à consulter un sophrologue pour de nombreuses raisons.
Si vous souhaitez améliorer votre qualité de vie : apprivoiser votre stress, améliorer votre sommeil, gagner en confiance …
Pour traverser une crise et retrouver, grâce à la sophrologie, un certain équilibre : après une séparation, une rupture, un divorce, un déménagement, un deuil ….
Pour atteindre des objectifs précis : réussir un examen / un concours, bien vivre votre grossesse et votre accouchement, être au top pour une compétition sportive …
4. Certaines entreprises font appel à des sophrologues, pourquoi ?
La sophrologie en entreprise participe à une démarche de prévention santé et de qualité de vie au travail.
Les interventions de sophrologie en entreprise donnent aux collaborateurs un temps de respiration (au sens propre comme au sens figuré !) ; ils acquièrent des outils concrets à intégrer au quotidien, pour réguler le stress.
Ces interventions peuvent prendre différentes formes : conférences interactives, ateliers, formations ou accompagnements individuels.
5. Sophrologie et pré/post natalité
S’agissant d’un moment important pour toute femme, la venue au monde d’un enfant n’en reste pas moins un moment où elle est sensible aux tensions et tourmentée par toutes sortes de maux.
Les causes d’angoisses ne manque pas : prématuré, fausse couche, signes d’urgences, poids, sport, maladies, troubles du sommeil, FIV… Avec cette formation précise, vous serez à même d’aider toute femme enceinte ou qui souhaite l’être à se préparer à la naissance de son enfant avec bonheur et anticiper, voir améliorer différentes pathologies ou maux de la grossesse.
6. Sophrologie et enfance
Les pressions et attentes sans cesse en accroissement provoquent chez nos plus petits des tensions et angoisses qui ont vite fait de les fragiliser.
L’enfant peut pratiquer la SOPHROLOGIE à partir de 4 ou 5 ans (selon sa maturité).
La sophrologie est aussi une aide précieuse pour les enfants atypiques (HPI, HPE, TDAH, DYS...)
7. Sophrologie et adolescence
L’adolescence est une étape de la croissance qui se situe entre l’âge de l’enfant et l'âge adulte. C’est l’âge de la puberté.
C’est une période de la vie où le regard que l’on porte sur l’entourage se modifie. Elle peut aussi s'inscrire dans une phase de crise.
C'est un période où de nombreux changements physiques, physiologiques, cognitifs se font.
Les adolescents se sentent plus stressés qu’il y à dix ans.
La sophrologie est une technique douce qui leur convient parfaitement.
La sophrologie est aussi une aide précieuse pour les adolescents atypiques (HPI, HPE, TDAH, DYS...)
8. Sophrologie et sport
Aujourd’hui, le nombre de médailles de sportifs reconnus suivis par un sophrologue ne se compte plus. Quelle que soit la discipline pratiquée (Football, Handball, Danse, Natation, Golf, Tennis, Sport mécaniques, Sport de combat…), en sport d’équipe ou individuel, tous ces sportifs amateurs ou professionnels parlent de l’intérêt indéniable d’être suivi par un Praticien Sophrologue dans la préparation du développement mentale ou physique de leurs différentes compétitions.
La sophrologie spécialisé s’impose naturellement pour gérer la phase préparatoire d’entrainement, l’anticipation de la compétition et ses conséquences, le stress et ses émotions et la phase de récupération tant des sports individuels et d’équipe.
9. Sophrologie et cancer
La sophrologie prend en charge toutes les phases de l’accompagnement de cette pathologie redoutable qu’est le cancer, le diagnostic et ses conséquences et les troubles de l’après-cancer (rémission/retour au travail/récidive), cette spécialisation forme aussi à l’adaptation des techniques sophrologiques appropriées, l’accompagnement des troubles liés aux cancers et l’accompagnement des enfants malades.
10. Sophrologie et maladies inflammatoires
Des maladies auto-inflammatoires aux maladies auto-immunes en passant par les maladies inflammatoires d’origine indéterminée, les maladies inflammatoires se manifestent par une sensation de chaleur et de mal-être et débouchent, en règle générale vers un handicap plus sévère que les symptômes apparents.
De nombreuses personnes en souffrent actuellement et de plus en plus de cas surviennent dans le monde.
On en recense certaines gravement invalidantes, telles la SLA, SEP (sclérose en plaque), la polyarthrite rhumatoïde et ses cousines, maladie de parkinson, maladie d’Alzheimer, maladie de Chron, l’arthrite juvénile, le syndrome de Gojerot-sjögren, les spondiarthropathies, les lupus érythémateux, l’eczéma, rhumatisme, Herpes…
La sophrologie permet de réguler à la fois l'intensité et la perception de la douleur. Le premier objectif est de”défocaliser”, c'est-à-dire de déplacer l'attention de la zone douloureuse vers une autre zone qui ne l'est pas. En éloignant notre attention, notre cerveau modifie sa perception de la douleur
11. Sophrologie et acouphène/hyperacousie
Pathologie silencieuse, l’acouphène invalide en France plus 16 millions de personnes. On compte néanmoins plus de 3,5 millions de personnes qui en souffrent sans pour autant consulter. Variant de l’état de simples sifflements à plus grave, dans bien des cas ces acouphènes pourraient être diminués voir supprimé par des réponses adaptées.
La sophrologie est classée parmi les méthodes de développement personnel et a pour objectif lutter contre les angoisses et les peurs. Cette médecine douce est de plus en plus utilisée dans le traitement des acouphènes pour agir en amont des symptômes et réduire leur intensité.
12. Sophrologie et séniors
La population des 75 ans et plus sera ainsi multipliée par 2,5 entre 2000 et 2040, pour atteindre plus de 10 millions de personnes en France, ainsi le sénior et le grand sénior est aujourd’hui une priorité, en terme de prise en charge par les pouvoirs public.
Les besoins des personnes âgées touchées par la vulnérabilité sont grandissants et requiert des équipes pluridisciplinaires afin de favoriser leur bien-être.
La Sophrologie trouve naturellement sa place pour gérer l’approche physiologique et psychologique des plus fragiles.
Le Praticien Sophrologue prend en charge toutes les phases de l’accompagnement sophrologique : des douleurs des personnes âgées, leur rapport au corps, les atteintes rhumatologiques et neurologiques, les troubles cognitifs résultants de pathologies inflammatoires : parkinson, SEP…(voir spécialisation maladies inflammatoires) avec les symptômes tels l’inertie, raisonnement, mémoire, attention, coordination…), les troubles du comportement (voir spécialisations maladies mentales) avec des symptômes tels l’anxiété, dépression légère… et les troubles du sommeil.
13. Sophrologie et maladies mentales
D’après l’OMS, de nos jours, 1 personne sur 4 souffre de troubles mentaux dans le monde. Comme l’a fait remarquer le Dr Brundtland, directeur de l’OMS, souffrir de ces troubles n’est pas un échec personnel mais il nous faut comprendre comment prendre en charge ces personnes.
La Sophrologie peut être utile pour ces maux difficiles comptant parmi les plus douloureux (avec accompagnement médical), tels que : les phobies, les addictions, anorexies, boulimies, autisme, burn out, dépressions, hyper-activité, conduites suicidaires, TOC…
14. Sophrologie et troubles du sommeil
Bon nombres de Français souffrent de troubles du sommeil à des degrés multiples, on estime à plus de 12 millions les personnes qui en souffrent.
Leurs conséquences peuvent amener à des atteintes du psychisme grave. Les signes d’une mauvaise santé du sommeil se caractérise par de l’insomnie, fatigue, somnolence, réveil nocturne, perturbations du cycle du sommeil, parasomnie.
Par la pratique de la Sophrologie, les personnes concernés par ces troubles peuvent retrouver un sommeil réparateur, des bienfaits physiques et psychiques qui leur permettront de retrouver une vie normal sans l’aide de médicaments ou en en diminuant les doses.
15. Sophrologie, relaxation, méditation, hypnose, yoga … quelles différences ?
La sophrologie est proche de la relaxation, de la méditation, de l’hypnose, ou encore du yoga, car elle s’inspire de toutes ces pratiques qui existaient avant elle.
En sophrologie, on se relaxe pour entamer ensuite un travail plus profond; la personne est « active » précisément car le but de la sophrologie est de rendre la personne autonome pour qu’elle soit actrice de son mieux-être. L’intention n’est donc pas la même.
S’agissant de la méditation, en sophrologie, l'approche est plus guidée, avec les intentions données dans les pratiques. La sophrologie propose un cheminement vers la découverte et la connaissance de soi, vers un objectif, ou dans le cadre d’un travail sur une problématique.
Souvent confondues, sophrologie et hypnose sont pourtant sensiblement différentes. La sophrologie se fonde sur l’observation et l’étude de la conscience, de la perception corporelle et de la relation corps-esprit, ainsi que leur influence sur le mode de vie. Le maître-mot en sophrologie est donc « conscience », alors que l’hypnose travaille sur « l’inconscient ».
Enfin, même si la respiration et le mouvement sont au cœur de ces deux disciplines, la sophrologie et le yoga se distinguent, à la fois dans leur pratique (respiration / mouvements / visualisation en sophrologie, enchaînement de postures en yoga) mais aussi dans les objectifs poursuivis. On vient à la sophrologie pour mieux gérer ses émotions, calmer stress et anxiété, améliorer sa confiance en soi, retrouver le sommeil ; on vient au yoga pour assouplir et renforcer son corps, gagner en équilibre.
16. Qu’est-ce que la thérapie par mouvements oculaires (issu EMDR/IMO) ?
Technique basée sur plusieurs approches tels que l’EMDR et l’IMO !
L’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) ou "intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires" est une psychothérapie développée à la fin des années 80 par la psychologue californienne Francine Shapiro. Cette approche thérapeutique est considérée aujourd’hui comme le traitement de référence de l’état de stress post-traumatique par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’American Psychological Association et l’American Psychiatric Association et la Haute Autorité de Santé en France.
Aujourd’hui, après 25 ans d’existence, l’EMDR a étendu son champ d'intervention à d’autres troubles comme les troubles anxieux (trouble panique, phobies diverses, etc), les troubles de l’humeur (dépression), les difficultés liées à un deuil, les troubles de la personnalité, les troubles liés à la douleur ou la somatisation, et les problématiques en lien avec l’estime de soi.
Cette approche postule que les symptômes et problématiques qu’une personne présente dans sa vie actuelle sont le résultat d’expériences de vie douloureuses ou traumatiques stockées dans le cerveau de manière dysfonctionnelle, c'est-à-dire en mémoire implicite.
L’IMO/EMI a été créée en 1989 par Connirae et Steve Andreas, de Boulder, au Colorado. La docteure en psychologie québécoise Danie Beaulieu a par la suite développé et raffiné la technique, notamment en y ajoutant des éléments de la thérapie d’Impact. De plus, c’est cette psychologue qui a publié le premier ouvrage sur le sujet (Beaulieu, 2003), lequel ouvrage a reçu l’aval des fondateurs.
Sur quoi repose l’IMO/EMI ? Ce traitement se fonde sur les principes de la programmation neurolinguistique (PNL). Selon cette approche, la direction du regard indique le type d’information auquel le cerveau est en train d’accéder.
Par exemple, une personne qui regarde en haut a souvent accès à un souvenir visuel ; celle qui regarde à droite ou à gauche, à un contenu auditif ; celle qui regarde en bas, à des ressentis. À partir de ce principe, Connirae et Steve Andreas ont posé la question suivante : si on oblige un client, lorsqu’il est en contact avec un souvenir traumatique, à regarder dans différentes directions, pourra-t-on forcer le cerveau à accéder à de nouvelles informations sensorielles auxquelles le client ne peut accéder consciemment ? La réponse est oui, assurément.
17. Comment est-ce que cela fonctionne ?
Face à une nouvelle expérience, le cerveau « classe » l’information pour n’en retenir que ce qui est nécessaire à la réalisation d’un apprentissage. A cette fin, l’information est stockée et associée avec l’état émotionnel qu’elle a provoqué afin de devenir accessible à la personne dans le futur.
Par exemple, la première fois qu’un enfant approche son doigt de la flamme d’une bougie, son cerveau traite l’information et lie l’image de la flamme à la sensation de douleur et l’associe à la perception de danger. Ces informations seront stockées ensemble dans le cerveau et cette expérience permettra à l’enfant d’apprendre à se méfier des flammes à l’avenir.
Dans le cas d’un trauma ou d’une expérience douloureuse non résolue, le cerveau est incapable de réaliser l’intégration en mémoire entre l’expérience, les émotions associées et les autres informations adaptatives. De fait, l’expérience traumatique reste figée dans le temps, et demeure associée à une émotion, une sensation physique ou une croyance à propos de soi sources de souffrance. Le cerveau se comporte alors comme un disque rayé, répétant sans cesse un ou plusieurs fragments de l’expérience, d’où les cauchemars, images et/ou pensées intrusives, émotions/sensations douloureuses et croyances négatives à propos de soi (« Je ne vaux rien », « je suis en danger », « je ne suis pas digne d’être aimé », etc). En l’absence d’un processus intégratif, aucun apprentissage n’est réalisé et l’expérience reste irrésolue.
Imaginons, par exemple, qu’une personne soit victime d’un accident de la route traumatique. Cette expérience pourra être conservée dans son cerveau sous une forme fragmentée : le crissement des pneus (sons), le visage des victimes ou des blessures (images), l’effroi ressenti (émotion), la croyance d’être dans une situation de danger de mort seront autant d’informations que le cerveau de la victime aura de la difficulté à intégrer. Le souvenir ne pourra pas être associé à des informations adaptatives comme une croyance positive (comme : “c’est terminé maintenant je suis en sécurité”) et une émotion de calme, par exemple. Il alors possible que la personne réagisse en ayant des cauchemars, en évitant les lieux de l’accident, en éprouvant de la peur face à un véhicule du même type que celui avec lequel il y a eu la collision et en ayant des images perturbantes de la scène qui lui viennent spontanément à l’esprit. Le passé traumatique s’invite alors dans le présent et hante la personne.
La thérapie par mouvements oculaires permet à la personne de retraiter cette expérience traumatique en activant le système inné de traitement de l’information. Lors de la séance de thérapie par mouvements oculaires, le cerveau de la personne produit spontanément des liens entre les fragments d’information traumatique (les bruits, les images, les croyances, les émotions) et les informations issues des réseaux de mémoire adaptatifs (des souvenirs d’expérience où la personne a fait face à un danger de façon plus appropriée, par exemple).
18. A quoi servent les mouvements oculaires ?
Plusieurs recherches montrent que les mouvements oculaires :
- réduisent le caractère vivide des émotions et des images liées au souvenir placé dans le champ de conscience ;
- augmentent les associations mentales liées au souvenir travaillé ;
- diminuent l'activation du système nerveux sympathique (l'accélérateur de l'organisme) ;
- améliorent la capacité à prendre de la distance et à observer ;
- réduisent l'évitement mental à la perturbation lié au souvenir traumatique en saturant la mémoire de travail tout en diminuant les émotions liées au souvenir ;
- activent le système parasympathique (le frein de l'organisme) et la réponse d'orientation.
19. Comment se déroule une séance de thérapie par mouvements oculaires ?
Lors d’une séance de thérapie par mouvements oculaires, le thérapeute pose quelques questions précises sur l’événement ou la problématique à travailler pour activer le réseau de mémoire traumatique puis commence des séries de mouvements oculaires/tapping alternatif/sons alternatifs. Pendant ce temps, la personne est invitée à observer ce qui se passe spontanément en elle :
- images qui défilent,
- pensées,
- prises de conscience qui émergent,
- souvenirs antérieurs ou postérieurs à l’événement qui viennent à la conscience,
- émotions,
- associations diverses.
La séance alterne entre des séries de mouvements oculaires et des pauses jusqu’à l'intégration complète du souvenir. Lors des pauses, la personne décrit au thérapeute ce qu’elle a observé puis elle est invitée, lors de la série suivante, à continuer à noter ce qui lui vient spontanément. Aucun effort particulier, aucune compétence spécifique n’est nécessaire de la part du client.
20. Quelle est la durée d'un traitement de thérapie par mouvements oculaires ?
Un traitement de thérapie par mouvements oculaires peut prendre quatre séances comme plusieurs mois, selon la complexité des problématiques à traiter. Il est impossible de répondre à cette question dans l'absolu.
21. Je n'ai pas vraiment de gros traumatisme mais je voudrais faire une psychothérapie. Puis-je bénéficier d'une psychothérapie par mouvements oculaires?
Oui. Certains événements de la vie, même s’ils ne sont pas objectivement considérés comme traumatisants, peuvent laisser des blessures psychologiques. Par exemple, une parole blessante prononcée à l’école par un enseignant peut avoir induit un sentiment d'humiliation qui a été renforcé par d’autres événements douloureux et irrésolus (non intégrés) plus tard dans la vie de la personne (exemple : rupture amoureuse, perte d’emploi, conflits, etc). Le traitement consistera alors en l’identification puis le retraitement nécessaire à l’intégration de la chaîne des souvenirs liés au sentiment d’humiliation.
22. Une seule séance est-elle suffisante pour en terminer avec un traumatisme très grave (viol, agression, catastrophe naturelle, etc)?
Non. Assez régulièrement, nous constatons que plusieurs séances peuvent être consacrées au retraitement d'un seul souvenir, particulièrement lorsque la charge émotionnelle associée est très forte. Il n'est pas rare de consacrer deux à quatre séances de mouvements oculaires sur un grave traumatisme.
23. Y a t-il des effets secondaires?
Oui, assez régulièrement. Le plus souvent, les clients rapportent une fatigue pendant et/ou après la séance. Quelques personnes rapportent également de brefs maux de tête. C’est un élément à prendre en considération car une personne peut avoir des échéances importantes (examens, entrevues professionnelles) qui nécessitent de différer la réalisation d’une séance de mouvements oculaires. Ces effets secondaires se résorbent généralement très vite.
Il est également possible que le travail de retraitement se poursuive entre les séances pouvant alors augmenter provisoirement certaines émotions en lien avec le souvenir travaillé. Parfois, d'autres souvenirs douloureux émergent. Toutefois, une ou plusieurs techniques de régulation émotionnelle sont enseignées au client pour y faire face adéquatement en dehors des rencontres.